atlas des régions naturelles
Initié en 2017 par Éric Tabuchi, le projet au long cours qu’il nomme Atlas des régions naturelles a comme objectif de réaliser un inventaire photographique des territoires de la France contemporaine.
L’artiste s’impose un protocole précis qui ambitionne de réaliser 25 000 photographies couvrant 500 régions naturelles d’ici une dizaine d’années. Il s’attache ainsi à révéler l’identité d’une région dans sa simplicité, oubliant le monumental au profit de l’ordinaire et du quotidien. La frontalité des prises de vues et l’absence de toute présence humaine contribuent à donner une lecture objective du territoire, détachée de la fonction architecturale et sociale du bâti.
En partenariat avec le CAUE37.
éric tabuchi
Vit et travaille à Paris.
Après des études de sociologie où il découvre l’oeuvre d’August Sanders, Éric Tabuchi commence son travail photographique. En 1999, en compagnie d’autres artistes, il fonde à Paris le collectif Glassbox avec qui il participe à de nombreuses expositions. À partir de 2007, Éric Tabuchi publie plusieurs livres – Hyper Trophy, Twentysix abandoned gazoline stations, Alphabet truck – chez Florence Loewy.
Il expose notamment au Palais de Tokyo, au Confort Moderne et aux Abattoirs. Depuis 2012, il travaille à l’élaboration d’Atlas of Forms. En 2017, il commence l’Atlas des Régions Naturelles, projet qu’il entend mener ces prochaines années.
Né d’un père japonais et d’une mère danoise, son travail s’articule autour des notions de territoire, de mémoire et d’identité. Les typologies architecturales constituent le principal de son oeuvre. En plus de sa pratique photographique, Eric Tabuchi produit des objets et réalise des installations.
Extrait du CNAP
Initié en 2017 par Éric Tabuchi, le projet au long cours qu’il nomme Atlas des régions naturelles a comme objectif de réaliser un inventaire photographique des territoires de la France contemporaine.
L’artiste s’impose un protocole précis qui ambitionne de réaliser 25 000 photographies couvrant 500 régions naturelles d’ici une dizaine d’années. Il s’attache ainsi à révéler l’identité d’une région dans sa simplicité, oubliant le monumental au profit de l’ordinaire et du quotidien. La frontalité des prises de vues et l’absence de toute présence humaine contribuent à donner une lecture objective du territoire, détachée de la fonction architecturale et sociale du bâti.
En partenariat avec le CAUE37.
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