les affluentes – les vibrations du monde
En 2021, TALM a créé Les Affluentes, un dispositif interrégional de résidences dont l’objectif est de favoriser l’insertion professionnelle des étudiants et des diplômés de l’Enseignement supérieur culture.
Dans ce cadre, TALM-Tours a instauré une résidence annuelle destinée à quatre jeunes diplômés qui bénéficient entre autres d’un espace de travail équipé d’outils aux ateliers de la Morinerie et d’une exposition présentée à Saint-Pierre-des-Corps. Chaque année, l’exposition est commissariée par une chargée d’expositions du CCC OD.
L’exposition de 2022, intitulée « les vibrations du monde », présente les travaux d’Assoukrou Aké, Eve Champion, Josselyn David et Alice Guiraud-Milandre. Ils semblent avoir peu en commun tant leurs recherches et techniques sont variées, tant les matériaux qu’ils emploient peuvent paraître dissemblables. Il y a pourtant un esprit commun dans leur manière d’approcher le monde, les mailles du temps, le cycle des choses, tant et si bien que leurs œuvres, ainsi mises en présence les unes des autres, en coexistence, se constituent en un environnement réticulaire qui prend sens. Ce réseau, d’une œuvre à l’autre, d’un artiste à l’autre, évoque toutes les sphères dont notre existence-même dépend.
assoukrou aké
eve champion
josselyn david
alice guiraud-milandre
En 2021, TALM a créé Les Affluentes, un dispositif interrégional de résidences dont l’objectif est de favoriser l’insertion professionnelle des étudiants et des diplômés de l’Enseignement supérieur culture.
Dans ce cadre, TALM-Tours a instauré une résidence annuelle destinée à quatre jeunes diplômés qui bénéficient entre autres d’un espace de travail équipé d’outils aux ateliers de la Morinerie et d’une exposition présentée à Saint-Pierre-des-Corps. Chaque année, l’exposition est commissariée par une chargée d’expositions du CCC OD.
L’exposition de 2022, intitulée « les vibrations du monde », présente les travaux d’Assoukrou Aké, Eve Champion, Josselyn David et Alice Guiraud-Milandre. Ils semblent avoir peu en commun tant leurs recherches et techniques sont variées, tant les matériaux qu’ils emploient peuvent paraître dissemblables. Il y a pourtant un esprit commun dans leur manière d’approcher le monde, les mailles du temps, le cycle des choses, tant et si bien que leurs œuvres, ainsi mises en présence les unes des autres, en coexistence, se constituent en un environnement réticulaire qui prend sens. Ce réseau, d’une œuvre à l’autre, d’un artiste à l’autre, évoque toutes les sphères dont notre existence-même dépend.
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