un paysage américain (générique)
L’exposition avait pour fil rouge l’idée qui préoccupe l’artiste : le paysage, sa représentation et son rapport avec l’identité et la nation.
Alain Bublex développe depuis le début des années 1990 de gigantesques fictions, profondément ancrées dans le réel. Recourant aux médiums les plus variés, ces projets oscillent entre réalité et fiction pour réinventer le paysage, la ville ou l’architecture.
Alain Bublex travaille sur un dessin animé, dont la première partie a été montrée à la galerie Vallois en novembre 2018. Il s’agit de la reprise en dessin du film Rambo, duquel l’action et les personnages principaux ont été retirés. Ce qui laisse seuls à l’image les paysages qui sont en arrière plan du film, et révèle leur rôle primordial (l’hypothèse vérifiée ici est qu’en fait, c’est par la relation au paysage que Rambo s’adresse à la nation américaine, bien plus que par le prétexte de la fin de la guerre du Vietnam).
L’artiste propose de construire dans la nef un diorama à échelle “1” de la scène du générique de Rambo : le panorama d’un paysage de montagne, avec un lac en contrebas et une cabane.
Cet ensemble est réalisé à partir d’éléments naturels et de décors mettant en œuvre le dessin vectoriel tel qu’il le pratique depuis plusieurs années. C’est sous ce décor que le public est invité à pénétrer, comme sous terre. C’est là qu’a lieu la projection du dessin animée, transformant ainsi la Nef pour la première fois en salle de projection.
alain bublex
Né en 1961 à Lyon. Il vit et travaille entre Lyon et Paris.
Alain Bublex développe depuis le début des années 90 de gigantesques fictions, profondément ancrées dans le réel.
Tour à tour urbaniste, utopiste, chercheur et voyageur, il réalise des œuvres qui ne sont pas de l’ordre de l’objet, mais plutôt du projet. Ses œuvres prennent corps grâce à une iconographie et une documentation aussi réaliste qu’abondante.
Recourant aux médiums les plus variés, ces projets oscillent entre réalité et fiction pour réinventer le paysage, la ville ou l’architecture.
Les productions d’Alain Bublex témoignent aussi d’une réflexion sur le Temps et l’Histoire. Elles revisitent les canons esthétiques et les mythes de la grande aventure de la Modernité.
Fictions autour de l’histoire de la ville, de l’architecture, des techniques ou de l’aérodynamisme, ses constructions évolutives gèrent les contraintes de la durée.Alain Bublex est représenté par la Galerie Georges-Philippe & Nathalie Vallois.
L’exposition avait pour fil rouge l’idée qui préoccupe l’artiste : le paysage, sa représentation et son rapport avec l’identité et la nation.
Alain Bublex développe depuis le début des années 1990 de gigantesques fictions, profondément ancrées dans le réel. Recourant aux médiums les plus variés, ces projets oscillent entre réalité et fiction pour réinventer le paysage, la ville ou l’architecture.
Alain Bublex travaille sur un dessin animé, dont la première partie a été montrée à la galerie Vallois en novembre 2018. Il s’agit de la reprise en dessin du film Rambo, duquel l’action et les personnages principaux ont été retirés. Ce qui laisse seuls à l’image les paysages qui sont en arrière plan du film, et révèle leur rôle primordial (l’hypothèse vérifiée ici est qu’en fait, c’est par la relation au paysage que Rambo s’adresse à la nation américaine, bien plus que par le prétexte de la fin de la guerre du Vietnam).
L’artiste propose de construire dans la nef un diorama à échelle “1” de la scène du générique de Rambo : le panorama d’un paysage de montagne, avec un lac en contrebas et une cabane.
Cet ensemble est réalisé à partir d’éléments naturels et de décors mettant en œuvre le dessin vectoriel tel qu’il le pratique depuis plusieurs années. C’est sous ce décor que le public est invité à pénétrer, comme sous terre. C’est là qu’a lieu la projection du dessin animée, transformant ainsi la Nef pour la première fois en salle de projection.
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